ÉDITORIAL
Ils sont des millions d’enfants à arpenter chaque jour les rues des villes pour se rendre au travail. Il sont apprentis-tailleurs, apprentis menuisiers, manœuvres…Malgré leur âge et les difficiles conditions d’exercice de leur métier, ils ne sont pas pris en compte dans les revendications sociales de leurs employeurs. Ils sont obligés de trouver un « petit boulot » (malgré l’interdiction) pour « sortir de la misère ». Ainsi écourtent-ils leurs études pour aider leurs parents. Ils ignorent même l’existence et l’intérêt de la fête. Pourtant ce sont des travailleurs et aussi …nos enfants !
KOUMBO